Expos, Festival Ar(t]chipel : Expo “I Love my Lulu” (1984) -Sarkis

SARKIS : I Love my Lulu – Le Forgeron et le Mineur en masques – La conversation à 2m50 du sol de deux chevaliers de Berlin – Le rideau de la fin des Siècles, le Début des Siècles – Les 12 drapeaux de K.R.I.E.G.S.S.C.H.A.T.Z. – La musique du Forgeron – Le Bateau du captain Sarkis quitte l’Exposition
en Travaux, le dernier jour – La femme du Peintre en Bâtiment rêve les expositions de Sarkis – Le son du choc de Garuda avec la sculpture en fer coloré

En préalable de l’intervention artistique de l’artiste Sarkis au musée en mars 2026 I love my Lulu sera donc une introduction à l’univers et à l’œuvre de Sarkis. Elle sera également présentée en parallèle de la première étape d’un projet participatif qui s’étendra sur trois à quatre mois, en lien avec les écoles d’Orléans. Sarkis souhaite en effet associer les enfants à la conception de l’installation, imaginée comme une invitation à « faire entrer l’arc-en-ciel dans le musée ».

Dans I love my Lulu, Sarkis rend hommage à l’œuvre intemporelle du compositeur Alban Berg. Le corps de Lulu prend la forme d’une structure métallique en fil de fer, entièrement recouverte de bandes magnétiques d’une durée de 3h20, contenant l’enregistrement chanté par Teresa Stratas, dans une mise en scène de Patrice Chéreau, avec l’orchestre de l’Opéra de Paris dirigé par Pierre Boulez. La musique, enroulée dans ces bandes, devient alors le sang qui circule dans ses veines. Cette sculpture est accompagnée d’un ensemble de neuf aquarelles